Dans sa maison de campagne, l’auteure, déjà âgée, savoure la nature, son jardin, ses chiens, la vie…
Les descriptions brèves et précises de petites scènes quotidiennes, de petits détails en « nature morte », laissent au lecteur toute latitude de faire appel à ses propres souvenirs, à sa propre sensibilité ; en nous brossant le tableau objectif des êtres et des objets qui l’entourent, Neel Doff nous fait entrer de plain-pied dans notre monde intérieur.
Si la Puisaye était en Belgique et si la chatte était une chienne, Neel Doff aurait pu s’appeler Colette.