Une enquête approfondie, érudite et honnête sur Jeanne d’Arc, qui ne laisse pas d’embarrasser visiblement l’auteur, catholique sincère.
Le malaise est visible jusque dans le titre : l’auteur conserve le « Jeanne », contrairement au « Jehanne » adopté par les dissidents, ou les initiés, selon le point de vue où l’on se place.
Un remarquable travail d’historien.