I. – La société.
Une oligarchie toute-puissante. – Son origine. – Culture peu répandue. – Milieux exceptionnels. – Les gens les plus riches ne sont pas les plus cultivés. – Comment les nouveaux enrichis pénètrent dans la société. – Démocratisation. – Échelle des valeurs. – L’intellectuel est encore dédaigné, comme chez les Yankees. – Cela changera. – L’étranger tenu à l’écart. – Solitude des diplomates. – Peu de dis¬tractions. – On ne reçoit pas. – En famille. – Explica¬tions de cette absence de sociabilité.
II. – La société (suite). – Les jeunes filles.
L’Argentine, paradis des jeunes filles. – Essai de psychologie de la jeune fille. – Surveillance étroite. – Instruction réduite. – Élégance, grâce, naturel, gaîté. – Le novio, préoccupation dominante. – Accordailles. – Pas de dot, mais des espoirs. – Évolution probable vers la dot.
III. – La société (suite). – Les femmes.
Vie de sacrifice. – Fidélité. – Persistance du sentiment arabe de la jalousie. – Loin des hommes. – Pas de visite masculine. – Proverbe espagnol : Femme mariée, pied cassé. – Effacement. – Résignation. – Soumission. – Pas de divorce. – « Nous sommes des esclaves ! Tel est notre goût ». – Libération à long terme. – Traditionalisme puissant. – Influence religieuse. – Le cri d’une voyageuse argentine en Europe : « Enfin, je respire ! » – Sur le bateau. – Avant Rio-de-Janeiro. – Après. – L’atmosphère de l’Europe. – La charité féminine. – Tendresse active et rayonnante au delà du foyer conjugal. – Les œuvres philanthropiques. – L’élégance.
IV. – La société (suite). – La famille.
Prolifisme du sol argentin. – 272 enfants ! – Accord parfait. – Traditions. – Les nouvelles générations tendent à s’émanciper de l’intimité trop étroite de la famille. – Solidarité familiale. – La mère idéale. – Le père sans autorité. – L’éducation par la liberté. – Résultats discutables. – Les enfants sont les maîtres. – La clef de la maison. – Précocité affligeante. – Les moutards en smoking. – Minuit. – À quelle heure les couche-t-on ?
V. – La société (suite). – Au théâtre.
Un beau théâtre. – Le Colón. – Le public. – Élégance et beauté. – Immobilité. – Silence. – L’Odéon. – Troupes italiennes et répertoire français. – Défense de fumer. – On fume partout. – Pas de mendiantes déguisées en ouvreuses. – Tristesse des casinos et des scalas. – Atmosphère de province.
VI. – La société (suite). – Clubs et hôtels.
Le Jockey-Club. – Élégance et confort. – Un budget sérieux. – Que faire de tant d’argent ? – L’Hippodrome de M. Faure-Dujarric. – Un jour de courses. – Le Tout Buenos Aires. – Pas de troisième classe ! – Retour des courses. – Le Cercle des Armes et des potins. – Influence politique. – Le Cercle du Progrès. – Le jeu. – Un hôtel américain : l’Hôtel Plaza. – Les « hommes du port ».
VII. – La société (suite). – Villégiatures d’été.
Vers les plages. – Le Trouville argentin. – La Foire aux Vanités. – L’hôtel Bristol. – Le site. – Falaises et villas. – La Rambla. – Comme on se rencontre ! – On se croirait à Palermo ou au Colón. – Toujours les mêmes visages. – Aussi le Carnaval est-il une distraction nécessaire. – La ville envahie. – On couche dans les trains. – Les bals. – Le jeu de l’eau. – Douches parfumées.
Le Tigre, delta du Paraná. – Villas et hôtels. – Régates. – Paysages. – Îles fleuries. – Canotage parmi les arroyos. – Végétation admirable.
VIII. – Rosario de Santa Fe
La route. – Richesse de la terre. – Pergamino. – Rosario. – Une ville qui pousse. – Personne ne se connaît. – Les Italiens dominent. – Antagonisme avec Santa Fe, capitale. – Le Port.
IX. – Córdoba.
La ville de Córdoba. – La nuit de Noël par 30 degrés de chaleur. – À l’église. – Spectacle peu édifiant. – Les éventails et les œillades. – Évocation des noëls campagnards de France. – Une ville cléricale. – Intolérance. – L’indécence de Fregoli. – Faust à l’index. – L’Université. – Professeurs allemands. – On demande des Français. – Le charme de Córdoba. – Passé historique. – Aristocratisme. – La Sierra. – Paresse des natifs. – À quoi se résume la vie mondaine. – Les buttes du vieux Córdoba. – Est-ce un faubourg de Grenade ? – Pittoresque.
X. – Córdoba (suite). – Les ressources.
Éveil économique de la province. – Les différentes cultures. – L’élevage. – Les terres irriguées. – Un beau travail français : le barrage San Roque. – Avenir de la luzerne. – M. Garlot, commerçant en peaux. – Visite à ses hangars. – Mécanisme de son commerce. – L’infecte odeur du skuns et les parfums de Grasse. – Les forces hydrauliques. – L’avenir de l’industrie.
XI. – Quelques Français dans la province de Córdoba.
M. d’Abbadie d’Arrast, industriel. – M. Blaque-Belaire, directeur de l’École agronomique. – M. Garlot, pelletier. – M. de Maussion, joaillier. – Activité des Allemands. – Rio Cuarto. – Chucul. – Un jeune Français énergique. – M. Jean Guichard, agriculteur. – Visite à son domaine. – Son histoire. – Anecdotes topiques. – Bonne humeur d’une Parisienne. – Comment on exploite une propriété dans la pampa.
XII. – Notes et croquis.
Les cimetières argentins. – Le prix des terrains pour les morts. – Le Jour des Morts à la Recoleta. – Traditions. – Le deuil. – Le sentiment de la famille. – Le velorio, vestige de superstitions anciennes. – Les « petits anges ». – Affreux tableau. – La cathédrale de Luján. – La dévotion des Italiens. – Légende de la Vierge embourbée.
XIII. – Mendoza.
Le voyageur traverse la pampa. – Le trajet. – Mercedes, Chacabuco, Junín, Laboulaye. – Une ligne de chemin de fer de 460 kilomètres en ligne droite. – Trop de grandes propriétés. – Les compagnies s’en plaignent. – Les hôtes du wagon restaurant. – Les Andes. – Mendoza. – Description de la ville. – Les rues, les maisons, les faubourgs, les jardins. – Visite des établissements d’assistance. – Baignoires sans usage. – La prison. – Le Parc de l’Ouest. – Un véritable homme d’État : M. Emilio Civil. – Carrière remplie.
XIV. – Mendoza (suite). – La région du vin.
Les ressources de la province. – Nécessité de l’irrigation. – Visite du vignoble. – Le circuit. – Spectacle de la vendange. – Des Italiens richissimes. – Leur histoire. – Terre de promission. – Bodegas monstres. – 250.000 hectolitres de vin par an. – La fabrication. – Fûts français. – Perfection des installations. – Médiocre qualité du vin en général. – Cela changera. – Les Italiens l’aiment ainsi. – Il y a déjà des crus célèbres. – Le Trapiche.
XV. – Mendoza (suite). – La Californie argentine.
La fortune de Mendoza. – On peut encore fabriquer du vin. – Avenir de la culture de la vigne. – Exportation possible. – Production des terres irriguées. – Le blé, l’orge, l’avoine, le maïs, les pommes de terre. – Avenir de la culture fruitière. – Les spécialistes français. – M. Pacottet, professeur à l’École de Grignon. – Sa mission et son œuvre en Argentine. – Fabriques de conserves de fruits. – Chez le Dr Séru. – Revenu de la terre. – Plan d’irrigation. – Une zone d’avenir : Monte Coman ou la Californie argentine. – Le choix du voyageur est fait.
XVI. – La traversée des Andes.
Vers la Cordillère. – Paysages pétrés. – Torrents. – La vallée d’Uspallata. – Voir de la verdure ! – Évocation des vallées alpestres. – Pas de condor. – Las Vacas. – Le Pont de l’Inca. – Las Cuevas. – Les mules nous attendent. – Le départ pour la Cumbre. – En route. – Le sommet de la Cordillère. – La Cumbre. – Le Christ, poteau-frontière entre l’Argentine et le Chili. – La descente. – Caracoles. – Les Andes. – Le Chili.
XVII. – Vers le Nahuel Huapi par les lacs chiliens.
Quelques jours au Chili. – Santiago. – Valparaiso. – Viña del Mar. – Impression charmante du Chili et de ses habitants sur le voyageur. – Valdivia. – Corral. – Hauts fourneaux français. – Une révolution dans la fabrication de la fonte. – Pas de houille, ni de coke, ni de bois carbonisé. – L’Océan Pacifique. – La baie d’Ancud. –Spectacle de beauté. – Puerto Montt. – Les Allemands sont ici les maîtres. – Puerto Varas. – Le lac Llanquihue. – Le volcan Osorno. – Petrohue. – Le lac Esmeralda. – Peulla. – Hospitalité allemande. – Deuxième traversée de la Cordillère. – Puerto Blest. – Le lac Frío. – Arrivée au lac du Nahuel Huapi.
XVIII. – Au lac Nahuel Huapi.
Un lac peu connu. – San Carlos de Bariloche. – La Compagnie chileno-argentine. – Le village. – Hôtel Perito Moreno. – L’aubergiste française. – Le prêtre catholique anglais et le pasteur protestant allemand. – Ici le prêtre vit difficilement de l’autel. – L’église est fermée. – Le temple le sera bientôt. – Pas de fidèles. – Discussion psychologique avec le pasteur. – La langue allemande a-t-elle des vertus moralisatrices ? – L’ile Victoria et les deux porcs-épics. – Les colons pauvres se plaignent qu’on leur refuse leurs titres de propriété. – Le prince de Schaumhourg-Lippe, propriétaire au Nahuel Huapi. – Visite de son domaine. – Le baron de Bülow, majordome. – Rencontre du Ministre plénipotentiaire d’Angleterre et de Lady Susan Townley. – Retour par le Chili.
XIX. – Vers le sud.
Les terres riches. – La pampa cultivée. – La Sierra de la Ventana. – Pigüé, colonie auvergnate prospère. – Conversation sur les conditions de la culture. – Une ville bien administrée. – Aveyronnais entreprenants et organisateurs.
XX. – Bahía Blanca.
Il y a trente ans. – Aujourd’hui. – L’œuvre d’une génération. – Progression rapide. – Le nouveau Parc. – Avenir de Bahía Blanca. – Collaboration des compagnies anglaises de chemins de fer. – Les trois ports. – Leur essor. – Antagonisme du nord et du sud de la province. – Dénigrement. – Dans le sud : la tosca, la sécheresse. – Dans le nord : terres privées de calcaire, trop d’humidité. – Budget d’un colon du sud. – Une culture nouvelle : l’avoine. – Progression saisissante. – La luzerne. – Un ancien député nationaliste échoué dans la pampa. – Les effets de la sécheresse combattus par le développement du machinisme. – Avenir de l’élevage. – Bahía Blanca, zone de transition pour les terres froides.
XXI. – Les vallées du Río Colorado et du Río Negro.
Des terres vendues à dix-huit sous l’hectare. – Les conquêtes du général Roca. – Vers le Neuquén. – Vallées fertiles. – L’avenir de l’arboriculture fruitière. – Solitude aride. – Obsession de l’eau. – Guanacos, autruches et tatous. – Choele Choel, quartier-général de Roca. – Neuquén, ville sans avenir. – Désert pétré. – L’ombre des tamariniers. – Un travail colossal. – Les fleuves Limay et Neuquén. – La Cuenca Vidal, réservoir naturel pour cinq milliards de mètres cubes d’eau ! – Trois cent mille hectares arrosés. – La fertilité de la vallée – L’avenir du Río Negro. – Contraste. – Le désert patagonien. – Vues sur le Chubut et Santa Cruz.
XXII. – Notes et croquis. Le prix de la vie.
Tarifs de l’alimentation. – La viande bon marché. – Les domestiques. – Leur insolence. – Leurs exigences. – Pas de bœuf bouilli. – Les hôtels. – Le blanchissage. – Chez le coiffeur : 9,60 fr. pour un « complet ». – Les prix de Mar del Plata. – Les loyers. – Les voitures. – Les vêtements. – Le prix d’une loge au Colón. – Prix de province. – De l’eau à cinq francs la bouteille.
XXIII. – La laine, les peaux et les viandes frigorifiées.
L’estancia mixte : à Ernestina. – M. Ricardo Perez. – Régime de l’estancia. –Visite du domaine. – Comment s’exploitent 10.000 hectares de terre, avec 20.000 moutons et 3500 vaches. – La tonte des brebis. – Tondeuses mécaniques et moteur à pétrole. – Le marché de l’estanciero. – Bénéfices de l’estancia. – Une terre achetée 15.000 francs il y a quarante ans, rapporte 420.000 francs par an. – Le marché des laines et peaux. – Les toisons réunies de trois millions de brebis. – Spectacle extraordinaire. – Le commerce de la France, de l’Angleterre, de la Belgique, de l’Allemagne. – Le trafic français domine encore. – L’activité de Roubaix. – Les viandes congelées et la carne seca. – Souvenir de l’lguazú. – Les grands frigorifiques de Buenos Aires. – Pourquoi la France refuse-t-elle la viande argentine ? – Du bœuf excellent à 60 centimes le kilogramme rendu en Europe. – Les Anglais carnivores. – Un trust raté.
XXIV. – Notes et croquis.
Smalas en voyage. – Comment on traversait autrefois les fleuves. – Pourquoi les briques sont pâles. – Sociabilité simplifiée. – Une réclame originale. – Le corso à la gare. – Les bottes vernies du pompier. – N’oublions pas notre vache ! – Pourquoi on fait les grèves. – Un curé occupé. – Dictons argentins. – Quelles sont les professions des immigrants ? – Par là… – Cosmopolitisme.
XXV. – L’immigration européenne.
Sous la domination espagnole. – Pas de femmes. – Métissage obligé des descendants des conquistadores. – Nègres et sambos. – Les premières immigrations. – De 1820 à 1857. – De 1857 à nos jours. – Caractéristiques des immigrants en Argentine. – Rapide assimilation. – Transformation étonnante des Juifs et des Arméniens. – Régions préférées – Buenos Aires, Bahía Blanca, Mendoza. – Salaires. – Catéchisme patriotique. – l.es Français répugnent à la naturalisation. – Leurs fils renient leur ancienne patrie.
XXVI. – L’immigration et la colonisation.
Prédominance de l’immigration italienne. – La main-d’œuvre des Piémontais et des Lombards. – Sollicitude du gouvernement italien pour ses nationaux émigrés. – Soignons le drapeau et l’épargne ! – Activité agricole, industrielle et commerciale des Italiens. – Les Espagnols. – Stérilité de la domination espagnole. – Sentiment dédaigneux des Argentins modernes pour les Espagnols. – Le gallego, l’animal qui ressemble le plus à l’homme. – Les Basques, immigrants désirables. – Prospérité des Basques en Argentine. – Un Basque populaire : Pedro Luro. – Son histoire. – Ses idées. –Sa descendance.
XXVII. – L’immigration et la colonisation (suite). – Les Français.
L’influence française commence au milieu du XIXe siècle. – La haine du tyran Rosas. – La collaboration des Français. – Leur œuvre. – Leurs initiatives. – Prestige de notre culture intellectuelle. – L’Alliance française. – Toute la société cultivée parle français. – Utilité patriotique du voyage de Clemenceau. – Manifestation francophile. – Le commerce français. – Lutte contre la contrefaçon. – Un ami de la France : le docteur Tomas Le Breton. – Incurie de nos organisations mercantiles. – Ce qu’il faut faire.
XXVIII – L’immigration et la colonisation (suite). – Les Anglais et les Américains du Nord.
Les financiers anglais. – La colonie anglaise ne se mélange pas. – Les middle-classes. – Belgrano. – Quartier anglo-allemand. – Le Club de Hurlingham. – Le week-end. – Les sports. – Coup d’œil sur la collaboration anglaise à la fortune de l’Argentine. – Chemins de fer, banques, industries. – Les grandes compagnies anglaises. – Leur œuvre colossale. – Rôle des chemins de fer. – Projets de l’État. – Importations. – L’Angleterre eut la foi. – Les Anglais et la concurrence allemande. – Les Américains du Nord. – L’impérialisme yankee n’est pas à craindre.
XXIX. – L’immigration et la colonisation (suite). – Les Allemands.
Importance de la colonie allemande. – Elle dépasse en nombre la colonie anglaise. – Le Club allemand. – Activité intelligente de la diplomatie allemande. – L’Empereur intervient. – L’armée argentine teutonifiée. – C’est notre faute. – La France refuse d’admettre les officiers argentins dans nos Écoles de guerre. – Progrès incessants des importations allemandes. – L’Allemagne nous a dépassés de beaucoup. – Elle est maîtresse de l’industrie électrique. – L’Angleterre menacée.
XXX. – Notes et croquis.
Les modes changent. – Rondeur et sveltesse. – Qu’est-ce qu’un placement d’avenir en Argentine ? – Qu’est-ce que l’antiquité ? – Le Musée Mitre. – Cuisine nationale. – Pas de facteurs ruraux. – Le vent du Nord et les nerfs. – Pluie d’or. – Ruses de concurrents. – Nous avons Caruso ! – Étonnement des Chiliens : où est le peuple ? – Une maxime d’homme d’État. – Soyez bref ! – Dans la pampa. – Le drapeau : viande, et le drapeau : pain.
XXXI. – Les mœurs politiques.
Forme du gouvernement argentin. – Constitution mal adaptée. – Désaccords entre les provinces et le gouvernement central. – « L’intervention » – Révolution pour rire. – Les politiciens sont d’accord. – Pas de programmes. – Indifférence générale. – Les élections présidentielles. – Manifestations populaires. – Moralité civique. – Comment on vote. – Vénalité des suffrages. – Marchandages. – Des voix qui coûtent cher. – Un jour d’élection à Saavedra. – Parodie du suffrage universel. – À bas les voleurs ! – Conséquence des mœurs électorales. – Le candilisme. – Prébendes et sinécures. – Plaidoyer pour la politique argentine. – Et l’Europe ! – Et les États-Unis ! – Pourtant le pays prospère. – Clôture de l’ère de révolution. – La présidence Saenz Peña. – Nouvelle école. – Les mœurs changent. – Dernières nouvelles. – Le suffrage libre et obligatoire.
XXXII. – L’avenir.
Optimistes et pessimistes. – Exagérations bilatérales. – Les quatre richesses de l’Argentine : le blé, la viande, le cuir, la laine. – Elles sont inépuisables et d’utilité éternelle. – Mauvaises années. – La sécheresse. – L’extension constante de l’aire de culture diminue les mauvaises chances. – Industries agricoles à développer : le beurre, le fromage. – Exemples du Canada, de l’Australie et des États-Unis. – Comparaisons. – Les futurs : au Nord et à l’Ouest, le Chaco, les Missions, les chutes de l’Iguazú, Salta, Mendoza ; au Sud, le Río Negro, le Neuquén. – Richesses minérales des Andes. – Un mal : les latifundia ; un remède : le homestead. – Comment augmenter l’immigration ? – Crises possibles. – Il faudra « tenir le coup ». – La réforme monétaire. – Il faut travailler.