L’auteur le dit lui-même, il n’est ni historien, ni amoureux des vieilles pierres.
Obligé pour sa santé de passer l’hiver au soleil, mais curieux de nature, il se passionne vite pour l’Égypte.
Pays paradoxal, de population arabe allogène mais d’administration ottomane, l’Égypte est alors sous une forte influence intellectuelle et culturelle européenne, en particulier française et anglaise.
Tout en bas, à l’écart, démuni de tout, méprisé, écrasé de travail et d’impôts, vit le fellah. C’est dans ses veines que coule encore le sang de l’ancienne Égypte. Un témoignage rare sur un pays que l’on n’en finit pas de découvrir. (Édition annotée)